jeudi 15 avril 2010

salon vide

salon vide
sous un galet
un mot


Coup de coeur de Paul de Maricourt (GONG 27)


Commentaire de Paul :

"Quelle pureté, quelle intensité ! Le poids du galet, l'énigme de l'absence en sept mots...
Ecrire un haïku n'est pas philosopher, ni donner son "point de vue", ni chercher un quelconque chatoiement. L'ombre du photographe ne doit pas envahir la photo. Ecrire un haïku, c'est s'effacer, pour restituer la force, la vibration de la vie."

Merci à Paul !

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